Cellulle des Anciens Militants PDG de la Diaspora

Les Jeunes Pouces de l'Emergence

posté le 07-02-2018 à 09:36:10

La SFI intéressée par des investissements dans divers secteurs au Gabon

 Le vice-président et trésorier de la Société financière internationale (SFI), Jingdong Hua, en séjour au Gabon, depuis quelques jours, a déjà eu des entretiens avec plusieurs autorités, portant sur la possibilité pour cette filiale de la Banque mondiale, d’investir dans divers secteurs d’activité dans le pays.

Avec le ministre de la Promotion des investissements, Madeleine Berre, le trésorier de la SFI, entité spécialisée dans le financement du secteur privé, a manifesté un grand intérêt pour la participation de l’organisme au renforcement du secteur privé et à la création d’opportunités d’investissement au Gabon.

La SFI qui travaille avec plus de 2000 entreprises dans le monde, entend également accompagner le Gabon dans la réponse aux exigences du Plan de relance de l'économie dont l'une des plus importantes reste la promotion du secteur privé.

Pour cela, elle envisage d’utiliser son expertise et son influence pour la création d’opportunités dans plusieurs secteurs d'activité attractifs, en matière d'investissement, au Gabon. Il s’agit de l'agriculture, du tourisme, des infrastructures routières et aéroportuaires auxquels s'ajoute un accompagnement des PME. Dans ce volet, les discussions avec Biendi Maganga Moussavou, ministre des PME, ont porté sur l’amélioration du financement des PME, à travers la mise en place d’un fonds de garantie pour lequel Jingdong Hua a manifesté un grand intérêt.

Il préconise également la création d'un «crédit bureau» en collaboration avec la BEAC et la dynamisation du marché des capitaux pour le compartiment des PME.

 


 
 
posté le 07-02-2018 à 09:24:15

Michel Mboussou accusé d’avoir emporté son véhicule de fonction à la CNAMGS lire la suite: https://www.gabonmediatime.com/michel-

 

L’affaire pourrait étonner plus d’un, vu la personnalité qui est impliquée. Selon des informations relayées par le journal L’aube dans sa livraison n°210 de ce lundi 5 février 2018, l’ancien directeur général de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale, Michel Mboussou, aurait emporté le véhicule de fonction qui lui était affecté alors qu’il était à la tête de cette organisme.

Selon l’hebdomadaire l’Aube, c’est l’actuel directeur général de la CNAMGS, Renaud Allogho Akoue, qui, au cours d’une conférence de presse, a presque à demie mot mise en lumière cette affaire. «Se défendant sur les accusations de gabegie dont il a fait l’objet ces derniers temps, il a relevé qu’à son arrivée dans la maison, il n’a pas trouvé grand-chose, même le véhicule qui lui était destiné a été emporté par son prédécesseur», rapporte-t-il.

Une attitude rocambolesque venant d’un haut commis de l’Etat, puisqu’on parle ici d’un ancien ministre des gouvernements de feu Omar Bongo Ondimba, de l’époux de l’actuelle présidente du Sénat et d’un grand maître dans la grande loge symbolique du Gabon. «Alors qu’est-ce qui n’a pas marché?»; se questionne L’Aube.



 


 
 
posté le 07-02-2018 à 09:22:06

Climat des affaires : La Banque Mondiale et la CPG se concertent


Le président de la Confédération patronale gabonaise (CPG), Alain Bâ Oumar, a échangé avec une délégation de la Banque Mondiale le 6 février à Libreville. L’échange a porté sur le diagnostic des contraintes au développement du secteur privé, la dette intérieure et les programmes prioritaires au développement.

Le président de la Confédération patronale gabonaise, Alain Bâ Oumar et ses
collaborateurs échangeant avec les émissaires de la Banque Mondiale, le 6
février 2018. © Gabonreview

 

L’amélioration du cadre des affaires dans le secteur privé était au centre d’un entretien entre le président de la Confédération patronale gabonaise (CPG) et une délégation de la Banque mondiale.

L’échange visait, selon la représentante de la Banque Mondiale, «à poser un diagnostic et comprendre quelles sont les contraintes au développement du secteur privé et aider à établir les programmes prioritaires pour les partenaires au développement de façon à lever ces contraintes», a expliqué Nadia Belah Hassine.

Pour la senior économiste à la Banque Mondiale dans le secteur de la pauvreté, «les principales contraintes résident notamment dans le développement des compétences et l’accès aux financements pour les petites et moyennes entreprises pour développer leurs activités de façon efficace».

Pour faire face à ces contraintes, un programme de renforcement des capacités est en passe d’être mis en place par le gouvernement et la CPG. Celui-ci passe «par une meilleure coordination des activités et stratégie des partenaires au développement, à travers la construction des centres de formation professionnelle», a estimé Nadia Bellegencine.

À la CPG, on se félicite de l’échange avec la délégation de la Banque Mondiale. D’autant qu’il s’agit selon Alain Bâ Oumar, d’un grand «partenaire au développement du Gabon qui apporte son appui et une réflexion sur l’amélioration du cadre des affaires pour le développement des petites et moyennes entreprises, sans lesquelles aucune économie ne peut prétendre à un quelconque développement».

Pour permettre aux PME de jouer pleinement leur rôle dans l’élargissement de la base productive, Alain Bâ Oumar a souhaité que celle-ci puissent bénéficier d’une «commande publique et des financements adaptés à leurs besoins, afin qu’elles puissent trouver la solution au problème du chômage des jeunes ».

La question de la dette intérieure a également été abordée par Alain Bâ Oumar et les émissaires de la Banque mondiale. Le président de la CPG a formulé le vœu que les engagements pris par l’Etat auprès des bailleurs de fonds, dans le cadre du Plan de relance économique (PRE) soient tenus.

 


 
 
posté le 31-01-2018 à 10:47:07

Une société française chassée du Gabon

L’Etat gabonais a poliment chassé du pays la société française ADL qui gérait l’aéroport de Libreville en refusant de reconduire sa concession arrivée à terme après 30 ans d’exploitation.

Aéroport de Libreville (ADL) est en fait une société de droit gabonais mais s’appuyait sur un partenariat avec Egis Aiport Operation (groupe Egis) et l’Aéroport Marseille Provence, dans le cadre d’un des premiers PPP africains (Partenariat Public Privé). L’Etat gabonais, Air France sont entre autres les principaux actionnaires de cette société

Les français qui géraient l’aéroport depuis 30 ans ont tenté de renouveler l’accord mais le Gabon a bouché ses oreilles. Au contraire, le gouvernement a officiellement notifié à la société le non renouvellement de la concession objet du décret n°1071/PR/MACC du 05 Octobre 1988 portant concession de l’aménagement, de l’entretien et de l’exploitation de l’aéroport international Léon MBA  de Libreville, qui avait fixé un terme de 30 ans.

Dans une interview au journal en ligne Direct info, la ministre gabonaise des transports, Estelle Ondo a quasiment confirmé cette information en précisant que l’Etat veillera au respect des droits des gabonais qui travaillent dans la société.

Selon des informations non encore officielles, l’Etat gabonais céderait l’aéroport au groupe singapourien Olam. Ce géant de l’agroalimentaire qui se diversifie très rapidement au Gabon aurait soumis aux autorités gabonaises un plan très ambitieux qui ferait de Libreville un hub entre l’Asie et l’Afrique centrale. Olam se serait engagé à construire un autre aéroport sur la route nationale vers la zone économique de Nkok.

 


 
 
posté le 29-01-2018 à 10:00:06

Salubrité : Otandault retrousse les manches à Port-Gentil

Le membre du comité permanent du bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG) a initié, samedi 27 janvier, dans le 2e arrondissement de la capitale économique une opération dénommée «Retroussons les manches», visant à curer les caniveaux engorgés et à mettre à disposition de la mairie de sa circonscription du matériel en vue de lutter contre l’insalubrité.

Jean-Fidèle Otandault, pelle en mains, pendant l’opération «Retroussons les manches», le 27 janvier 2018 à Port-Gentil. © D.R.

 

Moments de l’opération «Retroussons les manches». © D.R.

L’insalubrité à Port-Gentil et particulièrement dans le 2e arrondissement de la commune est une des principales préoccupations de Jean-Fidèle Otandaut, natif et responsable politique de la circonscription. Pour tenter de combattre le phénomène qui prend de plus en plus de l’ampleur, en raison des averses enregistrées dans la ville, le membre du comité permanent du bureau politique du PDG de la province de l’Ogooué-Maritime a initié, samedi 27 janvier, dans le 2e arrondissement de la capitale économique une opération dénommée «Retroussons les manches».

Pour sa première édition de l’année en cours, cette opération qui, selon son principal initiateur «s’inscrit dans l’ambition du président de la République d’améliorer le bien-être des populations», visait à curer les caniveaux engorgés dans plusieurs quartiers du 2e arrondissement, à l’instar de Pavé Balaran, Le 3 Silaos et Les cités unies. A la faveur de cette sortie, Jean-Fidèle Otandault a mis à la disposition de la mairie de sa circonscription du matériel (pelles, pioches, râteaux, etc.) en vue de permettre aux élus municipaux de lutter contre l’insalubrité et de faire de la cité pétrolière «un modèle en matière d’assainissement et de propreté».

S’il entend rendre pérenne cette opération dans la capitale économique, avec des séances d’assainissement une fois par mois pour coller à la Journée citoyenne instaurée par le chef de l’Etat, Jean-Fidèle Otandault n’a pas nié que «la question de l’insalubrité à Port-Gentil date d’une vingtaine d’années». La matérialisation d’un projet d’assainissement de la ville, financé en partie par l’AFD, est d’ailleurs toujours attendue depuis des années. Mais pour l’heure, «JFO» exhorte les riverains à faire avec leurs propres moyens, en attendant que ce projet aboutisse.

«N’attendons pas l’AFD, n’attendons pas que la solution vienne d’ailleurs. Nous pouvons, par des petites actions, essayer d’améliorer le quotidien de nos concitoyens. C’est notamment pour cela que nous initions ce genre d’entreprise qui, je l’espère, permettra d’avoir un léger mieux dans la vie des populations», s’est exprimé le ministre d’Etat en charge du Budget et des Comptes publics.

 


 
 
 

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