Cellulle des Anciens Militants PDG de la Diaspora

Les Jeunes Pouces de l'Emergence

posté le 24-03-2016 à 09:33:00

Pour Maixent Accrombessi, le Gabon doit éviter le risque de “jobless growth”

Le PIB national gabonais devra tripler d’ici 2025, et ce sans augmentation de l’empreinte carbone des activités économiques du pays. C’est l’ambitieux objectif que s’est fixé le gouvernement en lançant le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), plan de réformes et de projets d’investissements publics et privés à la finalité précise : la transformation structurelle de l’économie gabonaise. Une lourde tâche notamment portée par l’incontournable Maixent Accrombessi, directeur de Cabinet d’Ali Bongo.

Tout est parti d’un constat formulé par Ali Bongo Ondimba, en 2009, alors qu’il était candidat à l’élection présidentielle : « Notre modèle rentier n’est pas viable et ne nous permettra pas de prospérer durablement », avait dit en substance celui qui serait par la suite élu à la tête de l’Etat. L’économie gabonaise reposait alors principalement sur ses ressources en matières premières, essentiellement pétrolières. Or, comme le rappelle Yves Fernand Manfoumbi, coordonnateur général du bureau du PSGE, l’industrie pétrolière emploie peu de nationaux et ses bénéfices ne sont pas toujours réinvestis sur place.

Conscients de la fragilité d’un tel modèle, les Gabonais ont été sensibles au projet politique « l’Avenir en confiance ». Présenté par Ali Bongo en 2009, ce projet proposait une société portée vers la production et les services, capable de transformer localement ses ressources et d’offrir ainsi des débouchés aux nationaux. La transformation de l’économie gabonaise deviendrait dès lors la priorité du Président, qui suivait en cela les conseils avisés de Maixent Accrombessi, son directeur de Cabinet.

Homme d’affaires ambitieux, Maixent Accrombessi milite depuis toujours pour le développement industriel au Gabon. Lors du New York Forum Africa 2014, il a notamment mis en garde contre « le risque de jobless growth qui caractérise les pays dont l’économie se base sur les industries extractives », pays peu créateurs d’emplois, dont l’essentiel de la population vit bien souvent sous le seuil de pauvreté. Afin d’écarter ce danger, il rappelait les conseils qu’il n’a cessé de donner au chef de l’Etat : « Le Gabon doit développer la transformation locale des industries extractives afin de générer plus de valeur ajoutée, et plus d’emplois dans ces secteurs traditionnellement peu inclusifs. Une stratégie nationale d’industrialisation, élaborée dans ce cadre, montre comment la transformation locale va se développer pour ériger le pilier du Gabon industriel ».

Une stratégie qui commence à porter ses fruits. « Aujourd’hui, l’agriculture, l’industrie minière, l’économie numérique, les BTP, s’imposent comme les nouveaux moteurs [de la croissance gabonaise] », se félicite Yves Fernand Manfoumbi, avant de dévoiler des chiffres encourageants en matière de création d’emploi : « L’économie gabonaise créait en moyenne 3 500 emplois sur la période 2000 à 2009. Entre 2010 et 2015, 12 000 emplois ont été créés en moyenne chaque année ». Dans un pays comptant moins de deux millions d’âmes, ce n’est pas rien. A fortiori dans le contexte actuel, caractérisé par la montée du chômage dans de nombreux pays, qu’ils soient émergents ou développés.

Dans un monde instable, dans lequel les anciennes certitudes sont ébranlées, le Gabon a décidé de ne pas céder à la peur et au pessimisme ambiants. Si le contexte économique morose génère sont lot d’angoisses et d’incertitudes, notamment dans le monde développé, le Gabon croit en l’avenir et se donne les moyens de « résoudre l’équation d’une croissance forte mais inclusive, d’un développement qui ne se fasse pas au détriment de l’environnement, d’un projet protecteur des populations locales qui ne se nourrisse pas du réflexe instinctif du repli sur soi et du rejet de l’étranger », selon les mots du coordonnateur du PSGE.

Optimisme, courage et clairvoyance sont les mots-clés d’une stratégie ayant permis au Gabon d’obtenir d’importants succès économiques. Après une année 2009 difficile, la reprise a été au rendez-vous dès 2010, avec une croissance réelle avoisinant 6% en moyenne pendant les quatre dernières années. Mais ces chiffres ne font sans doute qu’annoncer les résultats que le pays pourra obtenir grâce à sa stratégie de diversification économique. Celle-ci concerne les secteurs les plus à même d’encourager un développement territorial à long terme sur tout le pays : le secteur minier et géologique, l’énergie (gaz naturel, hydroélectricité, énergie solaire et biomasse), l’agriculture agro-écologique, l’industrie des biotechnologies, le géo-tourisme, les technologies de l’information et la communication, les services financiers et bancaires, les services professionnels pour les entreprises et la formation et recherche scientifique. Autant de domaines qui feront du Gabon le pays prospère et inclusif qu’Ali Bongo Ondimba et Maixent Accrombessi appellent de leurs vœux.

 


 
 
posté le 24-03-2016 à 09:30:06

Coopération : L’AFD place 133 milliards de francs dans la santé et l’éducation

Deux conventions de prêt ont été signées, le 22 mars dernier à Libreville, entre l’Agence française de développement et le gouvernement.

Les officiels à la cérémonie de signature avec (de gauche à droite) Florentin Moussavou, Régis Immongault, Dominique Renaux et Yves Picard, le 22 mars 2016 à Libreville. © Gabonreview

Les officiels à la cérémonie de signature avec (de gauche à droite) Florentin Moussavou, Régis Immongault, Dominique Renaux et Yves Picard, le 22 mars 2016 à Libreville. © Gabonreview

 

L’Agence française de développement (AFD) a conclu, le 22 mars à Libreville, deux conventions de prêt destinées à financer plusieurs projets dans les domaines sociaux. Les documents y relatifs ont été signés par le ministre de l’Economie, le directeur de l’AFD au Gabon et l’ambassadeur de France au Gabon, en présence du ministre de l’Education nationale. «Les projets que ces conventions serviront à financer doivent répondre aux besoins des secteurs essentiels que sont la santé et l’éducation, besoins rendus aigus par la croissance démographique, notamment en milieu urbain. Ils s’inscrivent dans la priorité nationale accordée aux secteurs sociaux et au développement humain», a dit le diplomate français.

Selon Dominique Renaux, le diagnostic sur la pauvreté avait fait apparaître le déficit d’infrastructures.«Ces projets sont une réponse à ce déficit en s’attachant à la construction ou à la rénovation du cadre matériel des politiques de l’éducation et de la santé», a-t-il noté.

La première convention concerne, pour un montant de 33 milliards, l’amélioration de l’accès aux soins des populations de quatre provinces du pays, soit un bassin de population de 551 000 personnes. D’une durée de quatre ans, il vise la réhabilitation et l’équipement en mobilier et matériel biomédical de 27 centres médicaux dans les provinces de la Ngounié, de l’Ogooué-Ivindo, du Woleu-Ntem et du Haut-Ogooué, ainsi que la construction de logements d’astreinte pour les personnels, le renforcement des services de gestion des ressources humaines et la formation continue pour 3 000 agents. «Le montant de ce projet, intégralement financé par l’AFD, place l’agence au premier rang des bailleurs de fonds publics du système de santé gabonais», a annoncé Dominique Renaux.

La seconde convention, qui porte sur le secteur de l’éducation, vise à répondre aux besoins en infrastructures scolaires, le pays accusant un déficit en salles de classe, évalué à 1 995 unités en 2013 contre une projection de 2 550 en 2020. Le projet cible les territoires déficitaires en infrastructures pour l’éducation de base, Libreville et Port-Gentil notamment. «Il permettra d’édifier neuf collèges, accueillant environ 13 000 élèves, ainsi que huit écoles primaires, soit environ 8 000 élèves. Il prévoit également de construire 50 salles de classe pour agrandir les établissements existants. Le projet bénéficiera donc à 25 000 élèves au moins», a détaillé le diplomate français.

Une attention particulière sera portée à la professionnalisation des personnels de direction et au développement des capacités de pilotage pédagogique et administratif des établissements scolaires.

Etalé sur sept ans, ce projet est évalué à 101 milliards de francs, entièrement financés par l’AFD. «Il convient de souligner que ce concours est le plus important jamais accordé par l’AFD au Gabon et qu’il constitue, en même temps, le plus gros financement mis en place par l’AFD dans le secteur de l’éducation, tous pays confondus», a révélé Dominique Renaux, poursuivant : «Ces nouvelles conventions constituent une nouvelle manifestation de l’appui qu’apporte la France aux nouvelles politiques publiques du Gabon par le moyen de l’AFD».

Au total, les engagements de l’AFD au Gabon atteignent aujourd’hui 498 milliards de francs, ce qui la place parmi les principaux partenaires techniques et financiers du pays.

 


 
 
posté le 24-03-2016 à 09:29:06

Conjoncture économique : Le FMI, les perspectives et défis du Gabon

Face aux contrecoups de la chute du prix du baril de pétrole, le Gabon peut-t-il tenir la route ? Oui, à en croire le Fonds monétaire internationale (FMI) qui encourage le gouvernement dans ses efforts de diversification de l’économie.

Stimuler la croissance, diversifier l’économie et garantir la viabilité budgétaire à long terme. © Gabonreview/Lisa S.

Stimuler la croissance, diversifier l’économie et garantir la viabilité budgétaire à long terme. © Gabonreview/Lisa S

 

Durement touché par la récente baisse des prix du pétrole, le Gabon peut renforcer sa résilience et relancer sa croissance en diversifiant son économie. «L’effondrement récent des prix du pétrole (…) est un défi majeur pour l’économie gabonaise et sa résilience. C’est un choc important pour l’économie. Cela signifie également que les recettes publiques ont diminué de façon significative», a commenté le chef de mission du FMI au Gabon. «Dans la pratique, il y a moins d’argent en circulation dans l’économie. Cela a affecté le taux de croissance qui a diminué à environ 4% en 2015. Et il est prévu tomber, cette année, à un peu plus de 3%, soit environ 3,2 %. Entre 2010 et 2014, le taux de croissance était d’environ 6%. Il a donc eu un impact significatif pour l’économie gabonaise», a poursuivi Montfort Mlachila.

Montfort Mlachila, chef de mission du FMI au Gabon. © D.R.

Montfort Mlachila, chef de mission du FMI au Gabon. © D.R.

Affirmant que cet impact se ressent essentiellement sur les recettes publiques, le FMI soutient que le Gabon peut s’adapter de plusieurs façons. «L’objectif stratégique sur le long terme est de diversifier l’économie de sorte qu’elle soit moins dépendante du pétrole, ce qui rendra l’économie plus résistante. A court terme, le gouvernement doit vivre selon ses moyens en faisant deux choses : tout d’abord, (il) doit générer des revenus supplémentaires en dehors du secteur pétrolier, notamment (…) en réduisant l’étendue des exonérations fiscales. Puis prendre un certain nombre de mesures visant à mieux contrôler la croissance de la masse salariale», estime le Fonds monétaire international (FMI) dans son évaluation annuelle. «Il faut redéfinir les priorités des dépenses en capital et se concentrer sur les projets qui ont les plus hauts bénéfices ou les plus hauts rendements économiques afin (que le pays) puisse vivre selon ses moyens», a ajouté Montfort Mlachila.

Evoquant les éventuelles conséquences de cette restructuration sur les classes les plus vulnérables, la responsable du FMI s’est voulue rassurante, soulignant que le gouvernement est conscient de ces défis. «La question est d’ajuster les dépenses en ligne avec ce qui est disponible en termes de revenus. D’une part, le gouvernement peut potentiellement générer des revenus supplémentaires à partir du reste du secteur non pétrolier. Ainsi, la perte de revenus pétroliers peut être, dans une certaine mesure, compensée par des mesures supplémentaires qui peuvent mobiliser des revenus supplémentaires», a-t-elle affirmé. «Le gouvernement peut mettre en place ou renforcer son filet de sécurité sociale en faisant un certain nombre de choses», notamment à travers le développement du secteur agricole en zone rurale. «Dans le même temps, en particulier dans les zones urbaines, le gouvernement peut améliorer son filet de sécurité sociale par l’introduction ou l’expansion des transferts en espèces pour les segments les plus vulnérables de la population», a indiqué Montfort Mlachila. «Plus généralement, le gouvernement doit améliorer le climat des affaires dans tout le pays pour promouvoir l’investissement», a-t-elle suggéré. «Le gouvernement est pleinement conscient qu’il y a une pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans diverses activités économiques. Donc, en investissant davantage dans la formation, en particulier dans la formation professionnelle, il y a un potentiel pour améliorer les performances de l’économie, notamment en développant les compétences nécessaires pour contribuer à la diversification dans d’autres nouveaux domaines», a-t-elle indiqué.

Enfin, Montfort Mlachila a énoncé ce qu’elle croit être des priorités pour le Gabon : stimuler la croissance, diversifier l’économie et garantir la viabilité budgétaire à long terme. Autrement, il y a risque d’une augmentation significative des niveaux de la dette publique.


 


 
 
posté le 24-03-2016 à 09:26:22

Journée de l’enseignant : Ali Bongo en faveur d’une nouvelle école

Le président de la République a pris part, ce 23 mars 2016 à Libreville, à la cérémonie protocolaire de commémoration de la Journée nationale de l’Enseignant, déjà à sa 9è édition. Ci-après l’intégralité du communiqué de la DCP à cet effet.

© DCP-Gabon

© DCP-Gabon

 

Le Président de la République, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, a plaidé mercredi en faveur d’une nouvelle école de la République, propre à jouer le rôle d’ascenseur social qui est le sien et à servir le développement du pays.

© DCP-Gabon

© DCP-Gabon

S’exprimant dans l’amphithéâtre de l’Ecole Normale Supérieure de l’Enseignement Technique (ENSET) à l’occasion de la 9ème édition de la Journée nationale de l’Enseignant, le Chef de l’Etat a appelé parents, élèves et enseignants à concourir ensemble à l’avènement d’une nouvelle école, après avoir établi le constat que l’école gabonaise, régulièrement secouée par des mouvements de grève et pourvoyeuse de résultats en-deçà des attentes, est malade.

« Il s’agit donc pour nous de trouver ensemble les solutions pour l’avènement d’une école qui doit offrir à tous les enfants du Gabon, quelque soit leur origine sociale, ethnique ou religieuse, les mêmes chances de réussite. C’est-à-dire une école véritablement laïque et républicaine. Une école qui n’a ni affiliation politique, ni couleur syndicale, encore moins d’appartenance provinciale », a déclaré le Président de la République.

« Nous devons changer radicalement notre rapport à l’école de la République », a poursuivi Ali Bongo Ondimba, soulignant que la réponse aux maux qui minent l’école gabonaise n’est pas uniquement budgétaire ou financière, même s’il faut lutter « contre toutes les formes de détournement des ressources destinées à l’éducation et à la formation ».

S’adressant aux enseignants nombreux dans la salle, le Chef de l’Etat a évoqué l’importance de la place qu’occupe, au cœur de l’école, l’enseignant. L’enseignant « dont je sais qu’il exerce un métier éminemment noble », a-t-il dit.

Dans cet appel au changement, le Président de la République a rappelé le rôle et la responsabilité des enseignants pour que ces-derniers suscitent davantage de vocations parmi la jeunesse et assurent, à la Nation, une relève ayant la passion du métier.

 « C’est à ce prix que nous bâtirons cette école républicaine que nous appelons de nos vœux, celle qui offre une véritable égalité des chances de réussite à tous les jeunes Gabonais », a assuré Ali Bongo Ondimba.

Le Chef de l’Etat a également indiqué qu’il comptait sur le gouvernement et l’ensemble des administrations, en charge de conduire les politiques publiques dans le domaine de l’enseignement et de la formation des jeunes.

 


 
 
posté le 24-03-2016 à 09:25:29

Gabon-Côte d’Ivoire : En visite au Gabon aujourd’hui, Ado va-t-il rencontrer ABC ?

Dans le cadre des échanges permanents entre les autorités de Libreville et celles d’Abidjan, le chef de l’Etat ivoirien entame aujourd’hui une visite de 48 heures à Libreville. Ce déplacement le mènera également jusqu’à Franceville où il ira s’incliner au mausolée Omar-Bongo, comme l’avait fait le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall au début de l’année dernière. Selon des indiscrétions, Ali Bongo pourrait mettre à profit la venue d’Alassane Ouattara pour tenter un «rapprochement» avec le leader du PDG-HM.

© ado.ci

© ado.ci

 

C’est la troisième visite au Gabon du président de la République de Côte d’Ivoire. Il y était déjà venu, en février 2012, lors de la finale de la CAN 2012 au cours de laquelle l’équipe nationale de son pays affrontait les Chipolopolo de Zambie. Il y est également venu pour assister à une édition du New York Forum Africa, organisé depuis quelques années à Libreville par Richard Attias.

La visite de travail et d’amitié qu’entame aujourd’hui, à la mi-journée, le chef de l’Etat ivoirien, devrait permettre à celui-ci et à son homologue gabonais, Ali Bongo, d’échanger sur divers sujets d’intérêt commun sur les plans diplomatique, politique et économique, ainsi que sur l’actualité de l’heure marquée par la récente attaque terroriste qui a secoué, il y a dix jours, Grand-Bassam, causant la mort de 19 personnes. Les entretiens devraient porter sur le renforcement de la coopération entre les deux pays. «Une coopération dynamique, note un observateur, qui est régulièrement marquée par des échanges de visite, comme le montre le récent séjour à Libreville début-mars du président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro».

Sur cette visite d’Alassane Dramane Ouattara, de nombreux observateurs pensent aussi que cette visite peut permettre à Ali Bongo de solliciter sa médiation pour «renouer» avec le chef de file du PDG – HM, Alexandre Barro Chambrier. Car elle intervient à un moment où le parti au pouvoir au Gabon connaît de profondes dissensions en son sein. Le PDG a en effet éclaté en deux, une branche – celle de Louis – conduite par Ali Bongo, et une autre – celle d’Ossengué – menée par l’ancien ministre Alexandre Barro Chambrier, député du 4ème arrondissement de Libreville.

Alassane Ouattara et Alexandre Barro Chambrier sont très proches. Après avoir travaillé au Fonds monétaire iInternational (FMI), à Washington, les deux hommes ont gardé de très bons rapports, et, comme le souligne un de leurs proches, «ils passent les vacances ensemble avec leurs familles respectives». En décembre dernier, ils auraient passé Noël ensemble à Abidjan. C’est ce qui fait croire à ces observateurs que la visite du n°1 Ivoirien peut aussi servir à un éventuel rapprochement entre les tenants des deux ailes du Parti démocratique gabonais. Si cet entretien devait avoir lieu, il reste à savoir comment répondra l’ancien administrateur du FMI à l’ancien directeur général adjoint de cette institution financière internationale.

Autre spéculation : Alassane Ouattara pourrait aussi mettre à profit son séjour à Franceville pour s’entretenir avec Jean Ping, en tournée dans le Haut-Ogooué depuis le 20 mars dernier, et ce jusqu’au 29 mars prochain.

Le chef de l’Etat ivoirien sera accompagné, au cours de cette visite de travail et d’amitié, de deux membres de son gouvernement, ainsi que de certains membres de son Cabinet.


 


 
 
 

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