Cellulle des Anciens Militants PDG de la Diaspora

Les Jeunes Pouces de l'Emergence

posté le 21-10-2015 à 10:41:28

Une cinquantaine de députés du PDG fera une déclaration mercredi à Libreville


Une cinquantaine de députés du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) fera une déclaration ce mercredi à 11 heures à l’hôtel Palme d’or situé à côté de l’ambassade du Cameroun au Gabon, a-t-on  appris  de source bien informée.

 Le contenu de la déclaration est encore tenu secret. Ces députés s’exprimeront en tout cas après les démissions de Jean François Ntoutoume Emane, ancien idéologue du parti et de Léon Paul Ngoulakia, cousin de l’actuel chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba.

 

 


 
 
posté le 21-10-2015 à 10:36:09

Formation : Concours d’entrée à l’Ena à la fin du mois en cours


Vingt-cinq personnes seront retenues à l’issue du concours de l’Ecole nationale d’administration (Ena), prévu les 27, 28 et 29 octobre prochain à Libreville.

© agpgabon.ga

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Comme chaque année à pareille période, l’Ecole nationale d’administration (Ena) organise les 27, 28 et 29 octobre prochain,  son concours d’entrée. «Ouvert pour 25 places, ce concours concerne uniquement les candidats externes de nationalité gabonaise des deux sexes», précise un communiqué du ministère de la Fonction publique, non sans spécifier les conditions à remplir pour y prendre part.

Pour ce concours, les épreuves retenues sont, au premier tour, une dissertation de culture générale ; une dissertation de droit public ou d’économie générale ; un résumé de texte (droit public ou économie générale) ; une épreuve d’anglais; une épreuve d’intégration régionale et de coopération internationale. Au second tour, par contre, les candidats plancheront sur des épreuves orales axées sur la culture générale, le droit public et les finances publiques. «Le dépôt des dossiers de candidature se poursuit à la direction générale de l’Ena, sise au PK 12, jusqu’au 20 octobre», souligne le communiqué, non sans préciser : «Les frais d’inscription audit concours s’élèvent à la somme de 20 000 francs CFA».

L’Ecole gabonaise d’administration (EGA) fut créée au lendemain des indépendances. Devenue Ena en 1962, elle a pour missions principales la modernisation et la dynamisation de l’administration publique par des formations initiales et continues. L’Ena a vocation à être un établissement de référence à caractère professionnel offrant aux cadres de l’administration une formation appliquée de haut niveau dans les domaines du management du secteur public et des techniques et sciences administratives.

 


 
 
posté le 21-10-2015 à 10:28:03

Coopération financière : La Bid investit dans la santé primaire


Les modalités de financement et de mise en œuvre du projet de renforcement des services de santé primaire au Gabon étaient au centre d’une séance de travail, le 19 octobre à Libreville, entre une délégation de Banque islamique de développement (Bid) et le gouvernement.

© leblogfinance.com

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Le 19 octobre dernier à Libreville, une délégation de la Banque islamique de développement (Bid) s’est penchée sur les modes de financement et la mise en œuvre du projet de renforcement des services de santé primaire au Gabon. Estimé à près de 79 milliards de francs, ce projet est financé à 90% par la Banque islamique de développement (Bid) et le reste, soit 7,8 milliards de francs, par l’Etat. Si le projet va couvrir une période de cinq ans, ce prêt sera remboursé sur 20 ans, après une période de non remboursement couvrant les cinq premières années. Selon le directeur général de l’Institut gabonais de finance islamique, l’objectif de ce projet est de contribuer à l’amélioration de l’état de santé et au bien-être des populations, notamment les plus démunies.

Aux dires de Léonce Kaba, ce projet s’articulera autour de trois axes majeurs. Il s’agit de la construction et de l’équipement des nouveaux locaux de l’Institut de formation d’action sanitaire et sociale (Infass) à Bikélé, de 12 hôpitaux départementaux et d’un hôpital d’arrondissement dans les zones de Cocobeach et Kango (Estuaire), Okondja et Franceville (Haut-Ogooué), Ndjolé (Moyen-Ogooué), Ndendé, Lébamba et Mimongo (Ngounié), Moabi et Moulengui-Binza (Nyanga), Iboundji et Pana (Ogooué-Lolo) et Bitam (Woleu-Ntem). Le dernier axe de ce projet est l’appui à la formation du personnel paramédical et des formateurs au niveau de l’Infass et des médecins généralistes en chirurgie de base ainsi que de responsables de coordinations départementales en leadership et management des programmes et structures de santé.

Au Gabon, la Bid a déjà participé au financement de la construction de l’Ecole polytechnique de Masuku, à la modernisation du réseau de télécommunications et la construction de centraux téléphoniques, à la construction du lycée d’Etat de Franceville ainsi que de 171 salles de classe primaire… En 2011, le total des financements accordés par la Bid au Gabon s’élevait ainsi à plus de 421 millions de dollar (environ 210 milliards de francs) dont 94 % ont été consacrés aux secteurs des transports et de la communication.

 


 
 
posté le 21-10-2015 à 10:26:11

Suite aux révélations d’Echos du Nord : Démentis en cascade


Adrien Nkoghe Essingone et Clément Obame Mezui ont démenti, le 20 octobre courant, avoir discuté avec Réne Ndémezo’Obiang d’un éventuel soutien à Jean Ping et d’une demande de soutien au président de Guinée équatoriale.  

© Gabonreview/PathDoc

© Gabonreview/PathDoc

 

Comme il fallait s’y attendre, des réactions pleuvent au lendemain de la publication par Echos du Nord, d’une lettre de René Ndemezo’Obiang au président équato-guinéen en janvier 2014, et dans laquelle apparaissent les noms de personnalités politiques d’ethnie Fang supposées s’être ralliés à la cause de Jean-Ping dans les perspective de la prochaine présidentielle.

Deux personnalités ont, d’ores et déjà, dit n’être mêlées ni de près ni de loin à cette affaire. Il s’agit du 3evice-président de l’Assemblée nationale, qui a formellement démenti ces allégations dans une mise au point le 20 octobre courant : «Je suis membre du bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG), et, comme je l’ai fait en 2009, je soutiendrai physiquement et matériellement le distingué camarade Ali Bongo Ondimba, avec lequel j’ai un long chemin politique, au cours de la prochaine consultation électorale prévue en 2016», a fait savoir Adrien Nkoghe Essingone, disant avoir été surpris de voir son nom sur cette liste, où figurent aussi Jean-Eyeghe Ndong, René Ndemezo’Obiang ou encore Vincent Essono Mengue. «Par mon sens des responsabilités, lorsque je décide de quelque chose, j’ai pour habitude de le faire à visage découvert. Je n’agis jamais en catimini. Par ailleurs, je n’ai jamais construit mon parcours politique sur des bases ethniques ou tribales», a dit le député du Komo-Océan, précisant n’avoir jamais été consulté par René Ndemezo’Obiang pour faire partie d’un comité de soutien à Jean Ping.

Dans le même ordre d’idées, l’ancien président de l’Eglise évangélique du Gabon, également cité, a lui aussi apporté son démenti. «Il m’a été rapporté ce 19 octobre 2015 par l’hebdomadaire Echos du Nord de l’existence de mon nom sur la liste des personnalités devant soutenir la candidature de Jean Ping à la présidentielle de 2016», a fait remarquer le révérend Clément Obame Mezui, avant d’affirmer : «Je tiens à informer l’opinion nationale, d’une part, et la communauté chrétienne, d’autre part, que n’ayant jamais renoncé à mon sacerdoce, je reste et je demeure apolitique».

Tout comme Adrien Nkoghe Essingone, l’homme de Dieu a reprécisé qu’il n’a jamais été consulté pour appartenir au comité de soutien d’un quelconque candidat. «En tant que berger, je reste ardemment engagé dans ma mission qui consiste d’œuvrer fermement afin que les Gabonais et les Gabonaises donnent à Dieu la première place dans ce pays et relèvent ensemble les défis auxquels le peuple gabonais est confronté», a conclu Clément Obame Mezui.

 


 
 
posté le 21-10-2015 à 10:07:18

Révision du fichier électoral : Dialogue de sourds entre l’opposition et le gouvernement


Alors qu’on s’attendait à un accord entre les deux parties sur la question de la participation à l’opération de révision du fichier électoral, la rencontre du ministère de l’Intérieur et de l’opposition, ce 20 octobre, n’a abouti que sur la prise d’un autre rendez-vous.

Pacôme Moubelet Boubeya (au centre) et ses collaborateurs, lors de la réunion du 20 octobre 2015 à Libreville. © Gabonreview

Pacôme Moubelet Boubeya (au centre) et ses collaborateurs, lors de la réunion du 20 octobre 2015 à Libreville. © Gabonreview

 

Neuf des dix points de revendication amenés par les partis de l’opposition bloquent jusqu’à présent le lancement de l’opération d’enrôlement des populations visant le toilettage du fichier électoral actuel. Au terme d’une première rencontre il y a quelques semaines, les deux parties s’étaient donné rendez-vous, afin que l’opposition puisse soumettre au ministre de l’Intérieur ses propositions sur ladite opération. Mais, cette deuxième réunion, tenue le mardi 20 octobre courant, s’est achevée sur un relatif échec. C’est en tout cas ce qu’exprimaient les visages des uns et des autres, après quatre heures d’une intense discussion. Alors que certains opposants accusaient Pacôme Moubelet Boubeya et son délégué, Guy Maixent Mamiaka, de «camper sur leur position», refusant d’accéder à leurs différentes revendications, la partie accusée quant à elle laissait entendre que l’objet de la réunion n’était pas de répondre immédiatement aux revendications des uns et des autres mais de prendre connaissance desdites revendications.

Vues des participants à la réunion. © Gabonreview

Vues des participants à la réunion. © Gabonreview

Pour le ministre de l’Intérieur, il s’est agi en réalité d’«une demande d’audience formulée par certains partis de l’opposition», alors qu’elle-même est divisée sur la question. Il s’agissait donc de «voir les contours de leur participation» au processus de révision du fichier électoral, tout en leur donnant la position du gouvernement sur ce sujet. «Nous avons écrit une lettre au ministre, nous l’avons accompagnée de commentaires et nous avons dit au ministre que nous attendons des réponses précises sur des points précis ; des points consensuels obtenus à la suite de la mise en place de la commission ad hoc sur la question de la biométrie», a fait savoir Pierre Claver Maganga Moussavou, a indiqué être dans l’attente de la réaction du ministre dans quelques jours, non sans émettre le vœu d’une rencontre avec l’opérateur français Gemalto, qui aurait reconnu plusieurs erreurs dans la conception du fichier électoral actuel.

Au titre des points de revendications à solutionner avant leur participation à la révision du fichier électoral, les partis de l’opposition énoncent, entre autres, l’«élaboration d’un plan média associant l’opérateur technique Gemalto et les partis politiques, et visant à expliquer les mécanismes de fonctionnement de la biométrie», l’«implication des partis politiques dans toutes les étapes, notamment dans le suivi de la traçabilité des mises à jour du système informatique», l’«usage de la carte nationale comme pièce référence dans toutes les opérations électorales, suivi de l’original ou de la photocopie légalisée de l’acte de naissance ou du jugement supplétif», la «dotation de moyens supplémentaires au ministère de l’Intérieur pour relancer les campagnes pérennes d’établissement des cartes nationales d’identité à l’ensemble des Gabonais» et l’«organisation d’audiences foraine dans les zones rurales pour permettre à tous les Gabonais de se faire progressivement établir des cartes nationale d’identité». Or, a regretté Pierre Claver Magaganga Moussavou, «à ce jour, un seul point sur les dix a été acté, et a fait l’objet d’un texte réglementaire ou législatif : le passeport qui figure parmi les documents exigibles pour le vote». Rendez-vous est donc pris pour la prochaine rencontre avec Pacôme Moubelet-Boubeya.

 


 
 
 

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