Cellulle des Anciens Militants PDG de la Diaspora

Les Jeunes Pouces de l'Emergence

posté le 08-10-2015 à 11:28:53

Pour une remise à niveau de l’Ecole nationale d’administration

Ouvert le 6 octobre à Libreville, le conseil d’administration de l’Ecole nationale d’administration (Ena) se penche sur le projet de décret portant réorganisation de cette école.

Les locaux de l’ENA du Gabon. © vivre.au.gabon.over-blog.com

Les locaux de l’ENA du Gabon. © vivre.au.gabon.over-blog.com

 

Sous la présidence du ministre de la Fonction publique, le conseil d’administration de l’Ecole nationale d’administration (Ena) se tient depuis le 6 octobre courant à Libreville. A l’ordre du jour : le point de la réforme de cette école. «Nous avons aujourd’hui la lourde mission de redonner à l’Ena ses lettres de noblesse. Je vous invite à donner le meilleur de vous-mêmes durant nos travaux afin que soit adopté le projet de décret portant réorganisation de cette école qui vous est soumis», a lancé Jean Marie Ogandaga à l’ouverture des travaux. L’adoption de ce décret devrait ainsi permettre à l’Ena d’être plus compétitive en termes de formation, le décret n°212/MFP/PR du 8 mars 1982 n’étant plus adapté aux évolutions et missions de l’école. «Il ne s’agit pas d’une simple réformette avec la modification de quelques articles. Mais bien d’une réforme structurelle qui nécessite la création d’une agence comptable et de nouveaux organes rattachés à la direction générale, à savoir : le conseil d’établissement et le conseil scientifique et d’orientation», a fait savoir le ministre de la Fonction publique.

Jean Marie Ogandaga s’est félicité de ce que nombre de problèmes propres à l’Ena aient été solutionnés. «Au niveau pédagogique, nous pouvons nous satisfaire de la maîtrise des effectifs (30 recrutements par année) ou encore la mise en place d’une salle informatique pour l’indispensable enseignement des Tic», a-t-il déclaré. A cela s’ajoute «l’amélioration de l’offre de formation avec la mise en œuvre des enseignements modulaires, la transformation de la classe de première année de tronc commun avec des enseignements interministériels et le renforcement du programme de formation de continue par la multiplication des séminaires de haut niveau organisés notamment avec (des) partenaires extérieurs».

Cependant, le ministre de la Fonction publique a déploré la non-matérialisation du programme de préparation au concours d’entrée au sein de l’établissement adopté lors du conseil d’administration, par manque de financement. Or, il y a urgence à redéfinir de nouvelles conditions d’admission, conformément aux exigences des pôles d’excellence régionale tels que l’Institut de l’économie et des finances (IEF).

L’Ecole gabonaise d’administration (EGA) fut créée au lendemain des indépendances. Devenue Ena en 1962, elle a pour missions principales la modernisation et la dynamisation de l’administration publique par des formations initiales et continues. Depuis 2010, les différentes réformes engagées en son sein participent de la volonté des pouvoirs publics de disposer d »un établissement de référence à caractère professionnel offrant aux cadres de l’administration une formation appliquée de haut niveau dans les domaines du management du secteur public et des techniques et sciences administratives.

 


 
 
posté le 08-10-2015 à 11:22:41

Graine à Lengoye : une réunion pour lever les équivoques


La coordination générale du projet «Graine» a reçu, le mercredi 7 octobre 2015, à Libreville, les ressortissants du village Lengoye, du département de Mulundu (province de l’Ogooué-Lolo) pour une réunion mise au point. Objectif : lever les équivoques face à la méprise concernant la mise en œuvre de ce projet dans leur localité.

Photo de famille, au terme des échanges. © Gabonreview

Photo de famille, au terme des échanges. © Gabonreview

 

Le 3 octobre dernier, les filles et fils de Lengoye, dans le département de Mulundu (province de l’Ogooué-Lolo par Lastourville), avaient exprimé leur mécontentement suite à la destruction de leurs plantations et de leur village pour les besoins du projet Graine (Gabonaise des réalisations agricoles et des initiatives des nationaux engagés). «Au moment où nous nous retrouvons, nous n’avons plus de repère. C’est donc suite à cette spoliation de notre village que nous nous indignons. Et comme nous tous ici présents, mon rêve, le rêve que nous nourrissions tant, quant à un retour à nouveau à Lengoye, a été brisé», avait déploré l’un des membres de ce comité.

Pour éclaircir ce nuage qui pèse sur le développement du projet Graine dans cette localité, Gustave Ikoussoulou-Tonah et Arnold Silvère Tsiaba Moussinga et les leurs se sont rendus au siège de la coordination du projet Graine où ils ont été renseignés, informés de ce qui se fait dans le cadre de ce projet, ainsi que des mécanismes mis en œuvre pour son aboutissement. Pour eux, il était question de venir à la source, sur appel du coordonnateur général, s’enquérir de ce qui se passe d’autant plus qu’ils estiment n’avoir pas été associés à tout ce qui se fait dans le cadre de ce projet, dans leur village. Or, ils sont bien conscients que cela se fait pour eux et devrait se faire avec eux.

Le Coordonnateur général du projet Graine, Léandre Emmanuel Bouloubou, en pédagogue, a livré les rudiments à même de mieux les renseigner sur ce projet. D’emblée, il n’y a pas d’expropriation ni de spoliation. Le coordonnateur a expliqué que ce sont les populations, elles-mêmes qui décident de ce qu’elles veulent faire de leur terre. Et c’est pour cela que l’Etat exige que le projet se fasse avec des associations ou des coopératives. Celles-ci sont mises en place devant les autorités locales avec à la clé un procès-verbal signé de tous les membres. «Cela donne droit à un agrément», a-t-il dit ajoutant que le processus se poursuit avec l’Agence nationale des travaux topographique et du cadastre (ANUTTC) qui, elle, vient sur le terrain pour évaluer tout ce qui s’y trouve, vérifie si la zone concernée n’est pas dans un parc national, si ce n’est pas une concession forestière, ou s’il ne s’agit pas d’une zone tampon, un terrain querellé ou appartenant à une autre communauté. Ce n’est que lorsque ces conditions sont réunies que le dossier est transmis l’Etat qui se charge de remettre un titre foncier à l’association ou à la coopérative. «Graine ne peut pas venir tout de go se lancer dans le travail sans des concertations préalables, des études… », a lancé Léandre Bouloubou.

Ayant suivi toutes ces explications, les ressortissant de Lengoye ont réajusté leur position. Ils ont dit leur volonté de voir le projet Graine se développer dans leur localité. D’autres ont d’ailleurs indiqué qu’ils sont déjà même inscrits dans les listes en attendant la mise en œuvre effective de ce programme dans leur localité. La seule chose qu’ils déploraient était le «manque de dialogue», ont-ils énoncé.

La rencontre a permis aux plaignants de reconnaître ne pas être en phase avec ce qui se fait déjà sur le terrain. Car la majorité des membres du comité monté au créneau réside à Libreville, tandis que ceux de Lastourville, eux avec qui le travail s’effectue, ne se reconnaissent pas dans les actions de ce groupe. Cependant, le 3 octobre dernier, la Coordination générale du projet Graine s’était rendue à Lastourville pour renforcer la campagne d’information et de communication qu’elle avait déjà commencé à Libreville à l’endroit des populations, ressortissant de ces régions. Ce qui fait qu’il y a même un déphasage entre ce qu’ils déclarent à Libreville et ce qui se fait dans l’arrière-pays. Une situation qui a fait dire au responsable de la coordination générale de Graine qu’ils devraient tenir une réunion de large concertation d’ici le 17 octobre 2015 à Lastourville avec toutes les parties afin d’aplanir ces malentendus. Il s’agira d’examiner le partage des parcelles et d’évaluer les biens qu’ils avaient sur les terrains, notamment.

Le Comité en a profité pour demander réparation des dommages portant notamment sur des tombes et des plantations détruites. Il s’agit en effet pour eux de demander des indemnisations. Sur ce cas, le coordonnateur général de Graine a indiqué que sur tous les sites, le bois coupé est vendu aux enchères. 60% des revenus sont versés aux communautés concernées et 40% à l’Etat. Ce travail se fait déjà par le biais du ministère des Eaux et forêts, a-t-il indiqué. Quant aux tombeaux, des études vont prochainement s’effectuer sur le terrain et le dossier sera transmis aux services compétents de l’Etat pour indemnisation.

Au terme de ces échanges, les uns et les autres sont tombés d’accord sur un consensus. Les barrières qui avaient été posées pour éviter les actes de vandalismes sur le site déjà occupé par quatre coopératives, seront levées. Ceci permettra aux villageois de pouvoir accéder aux cultures vivrières qu’ils avaient développées dans ces zones.

L’objectif de cette initiative (Graine) est de faire «émerger une nouvelle génération d’entrepreneurs agricoles». Des personnes qui ne seront pas des paysans, mais des chefs d’entreprises dans le domaine de l’agriculture. Or créer cette génération est difficile dans la mesure où pour un individu seul, il est quasi-impossible de créer de grandes plantations, à l’échelle industrielle ; surtout que le programme vise l’industrialisation de l’agriculture gabonaise. Le projet s’intéresse à l’agriculture vivrière (tomate, piment, manioc et banane) et aux produits de rente tels que le café, le palmier à huile et l’hévéa.

 


 
 
posté le 08-10-2015 à 11:17:12

Afrique centrale : Les premiers pas du mouvement anticorruption

Daniel Ona Ondo, le Premier ministre, a présidé, le mercredi 7 octobre 2015 à Libreville, les travaux du lancement du Réseau des institutions nationales anticorruption d’Afrique centrale (Rinac).

Photo de famille autour de Daniel Ona Ondo, le 7 octobre 2015 à Libreville. © Gabonreview

Photo de famille autour de Daniel Ona Ondo, le 7 octobre 2015 à Libreville. © Gabonreview

 

Les responsables des institutions nationales de lutte contre la corruption des pays membres de la Communauté des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) se sont réunis le mercredi 7 octobre à Libreville. Objectif : la mise en synergie des efforts pour lutter contre la corruption qui sévit dans nombre de ces pays et le renforcement des compétences en matière de lutte et de répression.

Par la voix du 2e vice-Premier ministre, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Séraphin Moundounga, le chef d’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, a encouragé l’initiative d’un réseau sous-régional de lutte contre ce fléau, grâce au soutien de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) et en partenariat avec la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI) du Gabon. Avec cet engagement, une lutte sans précédent a donc été lancée contre la corruption en Afrique centrale, grâce à la conjugaison de tous ces efforts. Le 2e vice-Premier ministre, ministre de la Justice et des droits humains, Garde des Sceaux, a ainsi relayé les encouragements du numéro un gabonais aux experts qui ont pris part à l’atelier de lancement du Rinac.

«La criminalité qui exploite la fongibilité des frontières, aggravées par les évolutions technologiques, est devenue une menace sécuritaire multiforme dont les tentacules ne peuvent être contrôlées et anéanties par des actions cloisonnées de chaque Etat», a estimé M. Moundounga qui s’est réjoui de la «mise en réseau d’organismes nationaux de lutte contre la corruption de l’espace sous-régional d’Afrique centrale» et de ce que les «parties déviantes peuvent mieux être handicapées grâce aux mécanismes synergiques que vous mettriez en place».

Le Rinac est cette plateforme qui devrait permettre, entre autres, de renforcer les capacités de ses membres, accroître le partage de connaissances, d’informations et de bonnes pratiques afin de mieux lutter contre la corruption dans la sous-région. Au cours de cette réunion, des experts des pays de l’Afrique centrale, de la CEA, de la Commission de la Cemac, du secrétariat général de la CEEAC, de la Commission de l’Union africaine, de la Banque africaine de développement (Bad), du Programme des Nations-unies pour le développement (Pnud), de la Banque mondiale et d’autres institutions partenaires examineront et valideront plusieurs documents dont un premier plan triennal du Rinac, qui couvrira la période 2015-2017 et sera axé sur la visibilité du réseau, l’établissement de sa crédibilité et le développement de ses dispositions institutionnelles.

Le Coordonnateur- Résident du Système des Nations Unies au Gabon, Marie-Evelyne Petrus Barry a , au nom du Secrétaire Exécutif de la CEA, Carlos Lopes, remercié le Chef d’Etat gabonais pour avoir accepté d’abriter ledit atelier avant de saluer «l’engagement résolu de la République gabonaise à lutter contre la corruption et le blanchiment des capitaux, dans le cadre de ses efforts de promotion de la bonne gouvernance et du développement humain inclusif au profit de toutes les femmes et de tous les hommes du Gabon».

 


 
 
posté le 08-10-2015 à 11:14:57

Forum citoyen de Libération: Demandez le programme

Les organisateurs de «Gabon forum citoyen», qui se tient du 9 au 10 octobre 2015 à Libreville, en ont présenté, deux jours avant l’évènement, les contours, les personnalités participantes et le programme.

Laurent Joffrin et Nicaise Moulombi, le 7 octobre 2015 à Libreville. © Gabonreview

Laurent Joffrin et Nicaise Moulombi, le 7 octobre 2015 à Libreville. © Gabonreview

 

Présenté comme le «Rendez-vous incontournable des intellectuels, des politiques, des décideurs, des artistes, des journalistes, etc.», le forum citoyen de Libération devrait permettre à ceux-ci de confronter leurs expériences sur des thèmes d’actualité et de société, dans un esprit pluraliste et contradictoire. Il permettra, de ce fait, de mieux comprendre les enjeux, appréhender la société en mutation, explorer différents points de vue dans une multitude de domaines (culturel et artistique, économique, politique, social, international…).

Dominique de Villepin (en haut bras croisés) et quelques autres participants. © Gabonreview

Dominique de Villepin (en haut bras croisés) et quelques autres participants. © Gabonreview

Accompagné de Nicaise Moulombi, le président du Réseau des organisations de la société civile pour l’Afrique centrale, Laurent Joffrin, Journaliste, cogérant, directeur de la publication et de la rédaction de Libération a indiqué que l’évènement regroupera, pendant ces deux jours, les représentants de la société civile et les personnalités politiques de tous horizons, de même que des hommes d’affaires, des économiques, entre autres.

Entré dans 7e édition, le forum citoyen de Libération, journal français, proche de la gauche, ambitionne au Gabon de faire ce qu’il a déjà fait ailleurs : donner la parole aux citoyens, permettre le débat sur les grandes questions de développement et d’évolution du moment, mais surtout d’attirer l’attention sur ce qu’il y a prendre en considération ou pas afin d’encourager les processus de développement. Il s’agit donc de journées de débats avec diverses personnalités politiques et intellectuelles. «On souhaite faciliter l’évolution du continent en pleine croissance. On souhaite accompagner ce mouvement qui va vers le progrès et faire que ce progrès soit social, économique…»,a déclaré Laurent Joffrin qui a rappelé que «l’Afrique fut le berceau de l’humanité».

Vu ainsi, une question se pose : «ce continent est-il désormais l’avenir de l’humanité?». L’on répond que dans trois décennies, les Africains formeront un quart de la population mondiale tandis que, depuis dix ans, le taux de croissance du continent, au Nord comme au Sud, est nettement supérieur à celui de l’économie de la planète. «Un remarquable effort d’éducation lui a permis de rattraper progressivement dans ce domaine les autres régions du globe», note-on.

Ce forum est ouvert, libre et gratuit. Il permet à tous les citoyens intéressés d’écouter et d’interpeller les responsables de tous bords, les experts, les intellectuels ou les journalistes, a expliqué M. Joffrin. Pour lui, les débats devront se faire sous le signe du respect mutuel. Il a indiqué que ce forum financé de la même manière qu’en France, est organisé en coopération avec Reporters Sans Frontières, Transparency International, la Banque Mondiale (BM), l’Organisation de coopération économique et de développement (OCDE) et le Réseau des Défenseurs des droits de l’Homme en Afrique centrale. Les participants quant à eux sont des responsables et militants locaux de tous les horizons, représentant autant la société civile que le monde politique, et les experts africains ou internationaux spécialisés dans les questions qui concernent l’Afrique comme les pays du Nord : développement économique, progrès social, avenir de la jeunesse, combat pour l’environnement, lutte pour le pluralisme et les droits humains.

Tony Elumelu, président de la Fondation Elumelu, Dominique de Villepin, ancien Premier ministre, Yves Fernand Manfoumbi, coordonnateur général du bureau du Plan Stratégique Gabon Emergent, Martin Hirsch, ancien haut-commissaire aux solidarités et à la jeunesse, Nicaise Mouloumbi, président du Réseau des organisations de la société civile pour l’économie verte en Afrique centrale, Chantal Uwimana, directrice Afrique de Transparency International, sont quelques prestigieux participants à ce Forum citoyen.

Neuf tables rondes leur permettront d’aborder tous les sujets inscrits à l’ordre du jour. Ci-après le menu du forum qui a débuté par un master class.

Thème 1 : Elus, citoyens : qui décide ? (Les défis de la démocratisation)

Animateurs : Marc Ona Essangui (prix Goldman 2009, secrétaire exécutif de Brainforest), Georges M’Paga (président du réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance au Gabon), Chantal Uwimana (directrice Afrique de Transparency International ), Alain-Claude Billie Bi Nzé (ministre de la communication et porte-parole du gouvernement gabonais), Pierre Joxe (ancien ministre de la Défense et de l’Intérieur), Yves Leterme (ancien Premier Ministre de Belgique), Vincent Leyama (directeur de cabinet adjoint du Président de la République Gabonaise).

Thème 2 : Une croissance pour tous

Animateurs : Vincent di Betta (responsable de l’expertise internationale de la Banque Publique d’Investissement), Christian Mounzeo (coordinateur de la coalition Publiez ce que vous payez ), David Stevens (président de Serval Political Analysis), Madeleine Berre (ministre du Commerce, des PME, du Tourisme et du Développement des services), Yves Fernand Manfoumbi (coordonnateur général du bureau du Plan Stratégique Gabon Emergent).

Thème 3 : Un développement inclusif est-il possible ? (55 ans après les Indépendances, un nouveau partenariat ?)

Animateurs : Kako Nubukpo (ancien ministre de la Prospective et de l’évaluation des politiques publiques du Togo), Aminata Traoré (ancienne ministre de la Culture du Mali), Etienne Giros (président du CIAN), Michel Essonghe (conseiller politique du Président de la République gabonaise), Germain Ngoyo Moussavou (ambassadeur du Gabon en France).

Thème 4 : Le défi terroriste (Quelle coopération à l’échelle du continent ?)

Animateurs : Alain Juillet (ancien directeur du renseignement à la DGSE), Marc-Antoine Pérouse de Montclos (spécialiste de Boko Haram à l’Institut français de géopolitique), Keita Naffet (anthropologue et professeur à l’université de Bamako), Emmanuel Issozet-Ngondet (ministre des Affaires Etrangères du Gabon), Antonin Tisseron (chercheur à l’Institut Thomas More).

Rencontre avec Tony O. Elumelu : Deux heures d’échanges avec le président de la fondation Tony Elumelu, concepteur de l’Africapitalisme

Thème 5 : Avoir 20 ans en Afrique (Le continent le plus jeune de la planète, entre espoirs et impatience)

Animateurs : Martin Hirsch (ancien haut-commissaire aux Solidarités et à la Jeunesse), Daniel Schlosser (inspecteur d’académie et professeur associé à la Sorbonne), Amadou Diaw (président et fondateur de l’Institut Supérieur de Management de Dakar), Vivien Péa (délégué national de l’Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais), Mamadou Touré (fondateur d’Africa 2.0), Yannick Ebibie (lauréat du Grand Prix de l’Excellence – concours des entrepreneurs), Didier Acouetey (président d’Africsearch), Eric Mickoto (fondateur de Sky Hub Technology).

Thème 6 : L’Afrique verte (Clé du développement, à quel horizon ?)

Animateurs : Abdoulaye Bio Tchané (ancien ministre des Finances et de l’Economie du Bénin), Nicaise Mouloumbi (président du réseau des organisations de la société civile pour l’économie verte en Afrique centrale), Jean-Baptiste Bikalou (président de la Chambre de Commerce et directeur général de PetroGabon), Geneviève Ferone (ancienne directrice du développement durable chez Veolia), Etienne Massard (président de l’Agence Gabonaise d’Etudes et d’Observation Spatiale).

Thème 7 : Afrique 2.0 (La révolution numérique)

Animateurs : Alban Luherne (directeur d’Orange Money ), Alain Ba Oumar (président de IG Telecom), Oswald Loueke (directeur général de Réseau Télécom), Kwame Yamgnane (co-fondateur de l’Ecole 42), Olivier Sagna (maitre de conférences à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar).

Thème 8 : Journalistes en Afrique (Lé défi de l’indépendance)

Animateurs : Jean Bosco Talla (directeur de publication du journal Germinal au Cameroun), Maximilienne Ngo Mbe (directrice exécutive du REDHAC), Janis Otsiemi (écrivain), Martine Ostrovsky (membre du conseil d’administration de Reporter Sans Frontières), Jacques Sima (président du conseil d’administration de l’Agence gabonaise de presse).

Thème 9 : Journalistes en Afrique

Animateur : Jean Bosco Talla (directeur de publication du journal Germinal au Cameroun), Maximilienne Ngo Mbe (directrice exécutive du REDHAC), Janis Otsiemi (écrivain), Martine Ostrovsky (membre du conseil d’administration de Reporter Sans Frontières), Jacques Sima (président du conseil d’administration de l’Agence gabonaise de presse).

 


 
 
posté le 08-10-2015 à 11:10:46

Pétrole/Gabon Oil Company aurait un nouveau patron

Étienne Dieudonné Ngoubou, le ministre gabonais du Pétrole et des Hydrocarbures aurait limogé le directeur général de la GOC.

Reconduit à la tête de ce ministère lors du dernier remaniement gouvernemental, il y a quelques semaines, Étienne Ngoubou viendrait de limoger le PDG de cette compagnie pétrolière gabonaise.

Serge Toulekima aurait été remplacé par Arnauld Engandji-Alandji, un conseiller spécial du Chef de l’État.

Il y a quelques mois, Serge Toulekima avait organisé le Gabon Local Content, une rencontre internationale dont l’objectif était d’amener le Gabon à tirer parti de ses champs pétrolifères pour développer le contenu local et maximiser l’investissement.

 


 
 
 

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